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CHANSONS D'AMOUR DE LA FORET VIENNOISE

25,00

Référence EFA181

Lieder adaptés en français par Hélène Delavault, sur les mélodies originales de Beethoven, Brahms, Mendelssohn, Mozart et Shubert

    Vivement le printemps ! (Sehnsucht nach dem Frülinge) -  Le fils des Muses (Der Musensohn) - En chemin vers la chérie (Der Ganz zum Liebchen)

 Le pigeon voyageur (Die Taubenpost) - Je t’aime (Ich liebe dich) - S’envoler sur une chanson (Auf Flügeln des Gesanges) -  La fille du pêcheur (Das  Fischermädchen) 

  La truite(Die Forelle) - Au printemps.(Im Frühling) - A chanter sur l’eau (Auf dem Wasser zu singen) -  Berceuse (Wiegenlied)     

     « Emerveillement, joie, ce sont les sentiments que j’ai éprouvés, petite fille, à l’écoute de mon premier disque d’opéra  « Bastien et Bastienne » de Mozart (composé à douze ans) chanté par des enfants en français.

        Mais ce n’est qu’à 18 ans que j’ai découvert, grâce à mon premier professeur de chant, le répertoire du Lied romantique allemand. Nouvel émerveillement absolu et impression d’y être « à la maison », une fois dépassée la frontière du sens du texte en allemand.

        Il y a dans ce répertoire, souvent inspiré de la chanson populaire, un trésor de mélodies séduisantes, bouleversantes parfois, qui n’a son pareil nulle part.

Je trouve très dommage que beaucoup de français, en particulier les enfants et les apprentis chanteurs, ne les connaissent pas ou les trouvent d’accès difficile, du fait essentiellement de la barrière de la langue.

      C’est pourquoi je vous propose ici ma traduction de 11 de ces Lieder, que j’ai choisis spécifiquement pour la séduction immédiate et l’accessibilité de leur musique, ainsi que pour la gaieté ou la douceur de leurs poèmes. La plupart d’entre eux « sonnent comme des chansons » et même les tout-petits devraient y être sensibles.

      La traduction est destinée à être chantée, et je me suis efforcée, non seulement d’être la plus fidèle possible au sens du texte original, à la ligne près, mais aussi à ce que la phrase française respecte absolument la prosodie de la musique, avec ses accents, la distribution des syllabes, et la sonorité, autant que possible, des voyelles sur lesquelles la voix requiert une ouverture particulière. Tout cela dans un vocabulaire simple et contemporain.

     Il me semble que ces traductions peuvent aussi intéresser de nombreux professeurs de chant et directeurs de chœurs pour faire aborder à leurs élèves non germanophones ce merveilleux répertoire.

     Il va de soi que la ligne de chant et la partie de piano sont celles de la partition originale sans aucune altération.

    Je crois au pouvoir immédiat de la grande beauté sur l’âme des enfants et de tous les publics, comme elle a illuminé ma vie de petite fille. »

 

Hélène Delavault